SEO ou SEA : lequel choisir ?

SEO vs SEA ? Référencement naturel ou payant ? Faut-il choisir entre les deux ? Le SEO (Search Engine Optimization) et le SEA (Search Engine Advertising) sont deux techniques de référencement. Le choix de l’un ou l’autre s’établit en fonction de la stratégie marketing et du canal d’acquisition envisagés par une entreprise. Tous deux présentent des disparités et des avantages qui leur sont propres. Voici des éléments pour vous aider à faire le bon choix.

SEO et SEA : qu’est-ce que c’est ?

Découvrez ce que signifient les acronymes de SEO et de SEA, ainsi que tout ce que cela regroupe.

Définition du SEO

Le SEO regroupe l’ensemble des techniques et des actions mises en œuvre afin d’améliorer la position d’un site web sur les pages de résultats des moteurs de recherche (SERPs). En français, le SEO est synonyme de référencement naturel.

L’enjeu est de taille quand on sait que les premiers résultats affichés sont, dans l’extrême majorité des cas, l’essentiel des pages consultées.

Afin de classer les résultats de recherche, l’algorithme des moteurs de recherche attribue un score de pertinence à la page sur une requête donnée. On sait que, pour Google par exemple, des centaines de critères sont pris en compte par l’algorithme.

En outre, le SEO repose sur 3 piliers :

  • Le contenu, les moteurs de recherche mettent en avant les contenus bien structurés et qui apportent de la valeur aux internautes.
  • L’optimisation technique, le but est de corriger toutes les failles techniques de votre site web qui pourraient gêner sa lisibilité par les moteurs de recherche.
  • Le netlinking, cette pratique vise à améliorer la popularité de votre site web en multipliant les liens qualifiés provenant d’autres sites d’autorité (backlinks).

Le trafic acquis grâce au référencement naturel est dit organique, en opposition au référencement payant (SEA).

Les avantages du SEO

Quels sont les avantages du SEO ? En voici les principaux :

  • Un trafic régulier et pérenne. Les efforts visant à développer le trafic organique sont durables et il est très rare de chuter drastiquement dans les résultats une fois les positions acquises.
  • Un faible coût. Une campagne marketing SEO nécessite d’y investir des ressources et des moyens. Toutefois, le trafic généré par le SEO est très qualifié ce qui permet d’espérer un ROI (retour sur investissement) très profitable à terme.
  • Des leads plus qualifiés. Le taux de conversion est bien meilleur lorsqu’un site est agréable et bien positionné.
  • Une confiance accrue. Un site web bien positionné aura tendance à rassurer les internautes. C’est généralement le résultat d’un apport de réponses pertinentes à leurs interrogations. De fait, un bon positionnement crédibilise la notoriété et l’image de marque.

La principale variable du SEO est le temps que l’on peut y consacrer.

Définition du SEA

Le SEA est une stratégie de référencement payant qui se réalise au travers de campagnes publicitaires. Ces dernières permettent de positionner un site web sur les moteurs de recherche.

Sur Google Ads par exemple, la régie publicitaire de Google, l’annonceur détermine le budget à allouer aux mots-clés qu’ils souhaitent mettre en avant. Cette stratégie est basée sur un système d’enchères qui comprend principalement : le CPC (Coût par Clic ; le plus courant), le CPM (Coût par Mille), le CPA (Coût par Acquisition) ou le VPV (Coût par Vues ; pour les vidéos).

La stratégie d’enchères à adopter dépendra donc votre objectif : favoriser les clics, les impressions, les conversions ou les vues.

Le plus souvent, l’utilisation du SEA affiche les annonces dans les résultats de recherche au-dessus, en-dessous ou à côté des résultats organiques.

Les avantages du SEA

Le SEA présente plusieurs avantages :

  • Hausse du trafic immédiat, les annonces payantes des moteurs de recherche offrent des résultats instantanés, dès le lancement de la campagne.
  • Flexibilité, les campagnes publicitaires permettent d’adapter, en temps réel, les résultats obtenus et de les corriger si nécessaire. De plus, le SEA est optimal pour des mots-clés à forte saisonnalité qui ne nécessitent pas un investissement permanent sur une année.
  • Budget bordé, le référencement payant offre un contrôle strict sur le budget alloué qui ne peut pas être dépassé. En cas de budget consommé, la campagne s’arrête.
  • Monitoring détaillé, les outils de statistiques et de tracking permettent de mesurer finement les résultats et d’adapter la stratégie.

Le paramètre prépondérant dans une campagne SEA est le budget disponible.

SEO vs SEA : 2 stratégies d’acquisition marketing différentes

Le SEO et le SEA visent tous deux à améliorer le référencement d’un site web ; seules leurs approches divergent.

Différences SEO et SEA

Pour résumer les différences entre le SEO et le SEA, nous vous proposons le tableau suivant :

 SEO – référencement naturelSEA – référencement payant
Durée du positionnementLong. L’obtention d’un bon classement peut prendre des mois.Rapide. Les annonces sont immédiatement visibles, en haut de la page des résultats.
CoûtRelativement faible eu égard au ROI engendré.Variable et dépend du niveau de concurrence des mots-clés.
Durée (temps passé)Long. Il s’agit du principal paramètre d’une stratégie SEO.Court. Paramétrage et suivi des campagnes facilitées.
Retour sur investissement (ROI)À moyen/long terme. Les taux de conversion sont meilleurs (trafic qualifié) et les effets sont pérennes.À court terme. Les effets de la campagne publicitaire s’arrêtent dès qu’elle est consommée.

SEO vs SEA : doit-on choisir ?

Trop souvent, on oppose les référencements naturel et payant. Pourtant, ces deux approches s’inscrivent dans une stratégie globale nommée SEM (Search Engine Marketing) qui vise à améliorer le référencement.

En réalité, tout dépend du projet ; les leviers du SEO et du SEA sont mobilisables en fonction des objectifs déterminés. D’autres contraintes (budget, temps et ressources disponibles…) peuvent influer sur le choix de l’un ou l’autre.

Dès lors, il convient davantage de considérer le SEO et le SEA comme complémentaires. Une stratégie hybride peut permettre de profiter des bénéfices des deux approches. Le SEO conviendra parfaitement dans une stratégie de positionnement à long terme en visant un trafic le plus qualifié possible. Quant à lui, Le SEA permettra de cibler et de se focaliser sur des mots-clés cruciaux dans un laps de temps défini et ponctuel.

En outre, une stratégie qui combine SEO et SEA permet de :

  • Tester l’optimisation de contenus lors d’une campagne SEA et de les incorporer à la stratégie SEO par la suite, si besoin.
  • Accroître le trafic global en additionnant les clics organiques et payants.
  • Augmenter la visibilité sur la SERP en étant positionné via ces deux canaux d’acquisition.
  • Toucher des cibles différentes, car les internautes provenant des clics sponsorisés ne sont pas les mêmes que ceux provenant du trafic naturel.

En résumé, l’opposition SEO vs SEA ne fait pas sens dans la mesure où l’un ou l’autre diffèrent dans leur stratégie d’emploi. Le choix du référencement naturel ou payant doit s’établir en fonction des objectifs désirés. De plus, une stratégie hybride permettra d’améliorer son référencement au global en profitant des avantages combinés des deux. Chez Paper.Club, nous vous accompagnons dans votre stratégie de référencement.

Pourquoi faire du netlinking ? Car sur le web, le placement d’un site dans les résultats de recherche est primordial. Pour cela, il existe plusieurs méthodes, dont le SEO. Ce dernier, synonyme de référencement naturel, est le moyen le plus utilisé et le plus efficace à long terme. Le netlinking quant à lui est un des piliers du référencement naturel avec le contenu et l’optimisation technique. De ce fait, il est essentiel de comprendre son fonctionnement pour réussir sa campagne SEO.

Le netlinking, c’est quoi ?

Le netlinking est une stratégie SEO qui vise à recevoir des liens entrants sur son site web. Il est également appelé « link building ». Ces liens hypertextes qui pointent vers votre site web sont appelés des « backlinks» et ont deux utilités principales :

  • Augmenter la popularité de votre site internet aux yeux des moteurs de recherche. C’est l’objectif principal visé quand on souhaite mettre en place une campagne de netlinking. Lorsque des liens de qualité pointent vers votre site web, c’est un signe très positif pour les moteurs de recherche. Ils en déduisent que votre site fait référence dans votre secteur ou domaine d’activité puisque d’autres sites prennent le risque d’envoyer leur propre trafic vers le vôtre.
  • Augmenter votre trafic. Non contents d’améliorer votre popularité, les backlinks vous permettent également d’attirer du trafic supplémentaire. Là aussi, c’est un bon signal envoyé aux moteurs de recherche.

Pour être situé en bonne position sur Google, la popularité est primordiale. Cette dernière s’acquiert par les liens tiers qui vont pointer vers votre site web. Google considère ces liens, aussi appelés « jus », comme des marques de confiance.

C’est l’objet même d’une stratégie de netlinking qui va permettre de « transmettre » la popularité d’un site à un autre. Toutefois, pour être efficace, une stratégie de netlinking doit reposer sur des bases qualitatives. Les moteurs de recherche peuvent pénaliser les liens acquis de façon artificielle et privilégient les liens naturels. Il est aussi conseillé d’anticiper le netlinking dès le lancement d’un projet web et de le poursuivre dans la durée pour maximiser son impact sur le référencement naturel.

Enfin, une campagne de netlinking ne s’improvise pas et, mal exécutée, peut même vous pénaliser aux yeux des moteurs de recherche. Il est vivement conseillé de faire appel à des spécialistes SEO.

Pourquoi faire du netlinking est-il si important pour le référencement naturel ?

Le netlinking est, avec le contenu et l’optimisation technique, un des 3 piliers du référencement naturel. En réalité, il est tout à fait possible pour votre site web de bien se classer dans les résultats de recherche en travaillant le contenu et l’optimisation de votre site.

Pour autant, lorsque vous souhaitez positionner des pages dans les premiers résultats, le netlinking devient essentiel. C’est notamment le cas si vous voulez vous positionner dans les premières places sur des mots-clés fortement concurrencés. À ce degré de concurrence, le netlinking est incontournable pour faire la différence.

Quoi qu’il en soit, il est primordial de viser l’excellence sur toutes les composantes du SEO. La meilleure stratégie consiste à toujours faire mieux que ses concurrents en combinant un contenu utile et irréprochable, une optimisation on-site performante et un netlinking de qualité.

L’acquisition de liens externes qualifiés permet à votre site :

  • D’augmenter votre popularité aux yeux des moteurs de recherche.
  • D’obtenir davantage de clics et de trafic.
  • D’attirer plus fréquemment les robots sur votre site.

À condition de :

  • Toujours privilégier les liens de qualité plutôt qu’en quantité. Une politique visant à maximiser le nombre de liens externes de faible qualité vers votre site pourra même avoir un effet néfaste sur votre référencement et surtout limite les risques.
  • Favoriser l’obtention de liens le plus naturels possibles.

Si vous optez pour ces deux approches combinées, les effets de votre netlinking seront maximisés et vous profiterez d’un référencement naturel profitable et durable.

Pourquoi faire du netlinking ? Nous l’avons vu, car il permet d’améliorer significativement votre popularité et donc votre classement dans les résultats de recherche de Google. Le netlinking est une stratégie de référencement naturel très efficace quand elle est bien menée. À cette fin, nous mettons à disposition chez Paper.Club une plateforme de netlinking pour vous aider dans votre SEO.

L’une des stratégies les plus efficaces pour améliorer son référencement sur les moteurs de recherche est le netlinking notamment le netlinking à plusieurs niveaux. Une méthode qui est peu utilisée par les référenceurs et pourtant aux résultats surprenants. Découvrez le concept en détail dans cet article.

Qu’est-ce-que la stratégie de netlinking à plusieurs niveaux ?

La stratégie de netlinking à plusieurs niveaux est une mise en place hiérarchisée en plusieurs étages, ayant chacun des liens. Les liens de la base alimentent le rang suivant et ainsi de suite jusqu’à votre site. La classification de cette configuration s’apparente à la structure d’une pyramide. Ce plan permet d’obtenir des liens émanant de sites de faible autorité, vers vos liens moyennement qualitatifs pour les rendre plus puissants. Enfin, ces backlinks devenus forts se dirigent vers votre site. Votre site se trouve au sommet de la pyramide car il est l’objectif de toute la stratégie netlinking. Tout est mis en œuvre pour qu’il reçoive le jus des liens des niveaux inférieurs, et par conséquent, le rendre visible et populaire grâce à un référencement réussi.

Niveau 1 : Les backlinks de qualité

Le but du niveau 1 est de cibler votre site principal, votre « money site ». La partie de cette pyramide renferme les backlinks ou liens de qualité, provenant de sites à forte notoriété liés à votre activité ou thème. 

Niveau 2 : Le cœur de la pyramide 

Ces liens de niveau 2 sont de moins bonne qualité. En revanche, ils seront plus nombreux et plus simples à acquérir. Ces derniers permettent de pointer vers vos liens de niveau 1, qui eux, sont de meilleure qualité, mais plus longs et difficiles à obtenir. Ces backlinks aident à l’indexation de vos liens de niveau 1, et leur envoient du jus SEO. Ce qui renforce davantage ces liens secondaires.

Niveau 3 : La base de la pyramide

Le niveau 3 doit être constitué d’encore plus de backlinks que le niveau 2, et n’exigent pas de qualité. Ils doivent pointer vers le niveau secondaire et permettent ainsi d’indexer mieux vos liens de niveaux 2, intensifier la puissance de vos liens de l’échelon 2 en les faisant passer à un degré plus élevé, thématiser vos liens et ainsi améliorer la sémantique qui facilitera Google à comprendre et bien d’autres bénéfices.

Ce qu’il faut notamment savoir, c’est que l’étage 2 de cette hiérarchie requiert 10 fois plus de liens hypertextes que l’étage 1. Puis, l’étage 3, en demande 10 fois plus que le rang 2. La stratégie de netlinking à plusieurs niveaux est très intéressante. Elle permet d’envoyer des liens de qualité vers votre money site, de renforcer ces liens.

N’hésitez pas à utiliser notre plateforme pour vos campagnes de netlinking.

Vous souhaitez rédiger un article SEO bien optimisé ? Que ce soit pour alimenter un blog personnel ou un site d’entreprise, il est important de publier des articles qui répondent aux exigences des moteurs de recherche. Voici une démarche simple et méthodique qui pourra vous guider dans la rédaction de votre article optimisé SEO.

Qu’est-ce qu’un article optimisé SEO ?

On appelle un article optimisé SEO (Search Engine Optimization), un article qui est destiné à être diffusé sur le web pour favoriser son référencement naturel. L’objectif étant de positionner un ou des mots-clés sur les moteurs de recherche pour améliorer son positionnement et augmenter le trafic de votre site. L’article doit répondre à une ou des intentions de recherche de l’internaute sur des requêtes visées. La rédaction d’un article optimisé SEO répond donc à certaines exigences techniques à respecter impérativement pour un meilleur référencement. L’intérêt du référencement SEO est d’attirer les internautes afin de leur présenter un produit ou de les informer sur un sujet. Supposant même que le contenu de votre article soit intéressant, si le lecteur ne le lit pas, cela n’aura aucun intérêt. Si vous voulez rédiger un article SEO optimisé, votre objectif principal sera d’attirer l’internaute et de réussir à captiver son attention en répondant à ses attentes. On parle alors de stratégie de contenu SEO-friendly.

Ce qu’il faut faire avant de vous lancer dans la rédaction d’un article optimisé

Dans un premier temps, il est intéressant de vérifier quelle est l’intention de recherche des internautes sur le ou les mots-clés visés. Est-ce que le visiteur cherche à visionner une vidéo ? Lire un article de blog ? Acheter un produit ? En vérifiant sur la SERP, vous pourrez identifier rapidement ce que l’internaute souhaite trouver. Ensuite apparaît souvent une section “Autres questions posées”. Ce sont les questions régulièrement tapées dans la barre de recherche de Google. Il est donc nécessaire d’intégrer ces questions dans le contenu de votre texte. Vous pouvez aussi utiliser des outils comme Google Trends pour vous aider à trouver les sujets qui sont tendance ou Ubersuggest pour vous trouver les sujets d’articles qui traitent de vos mots-clés et qui se positionnent.

La structure d’un article optimisé SEO

La balise title ou titre (h1)

Souvent confondu, il existe néanmoins une différence entre ces 2 notions. La balise title est le titre de la page qui apparaît sur les pages de résultat des moteurs de recherche. Dans l’idéal, la balise title est limitée à 70 caractères espaces compris au-delà elle ne sera pas visible sur le moteur de recherche. Vos mots-clés doivent donc impérativement se trouver le plus en amont de votre titre pour améliorer votre optimisation SEO. Le titre (h1), quant à lui, est le titre qui apparaît sur l’article de votre page. Il n’est pas limité en nombre de caractères et permet de pouvoir proposer aux lecteurs une meilleure compréhension de votre contenu. Le titre d’un article optimisé doit être à la fois parlant et accrocheur.

La balise meta description ou le chapô

La balise meta description est le contenu qui est affiché juste après la balise title sur les résultats de recherche. Elle est limitée à 160 caractères espaces compris au-delà elle ne sera pas visible sur le moteur de recherche. A la différence du chapô ou introduction de votre page où vous n’êtes pas limité dans le nombre de caractères. Les mots-clés doivent y être présents. Un chapô ou introduction doit répondre au 5W et 2H (Qui ? Quoi ? Quand ? Comment ? Où ? Combien ? Pourquoi ?).

h2, h3, h4…

La segmentation d’un article SEO en plusieurs paragraphes permet non seulement d’organiser ses idées, mais aussi de ne pas perdre le lecteur. En fonction de la quantité d’informations que vous souhaitez transmettre dans votre article optimisé, vous pouvez le diviser en plusieurs paragraphes. Pour structurer votre article, il vous faudra utiliser les balises h2, h3, h4… Les balises h2 représentent les sous-titres de votre article. Elles doivent comporter les mots-clés ciblés. A la différence des autres balises, les balises h2 ont un poids plus important en termes de puissance SEO.

L’attribut ALT pour les images

L’attribut ALT permet si l’image ne s’affiche pas de faire apparaître un texte à la place. Il permet notamment d’aider au référencement des images sur les moteurs de recherche.

L’url de votre page

Pour certains experts, le choix de votre URL aurait un impact. Il faut donc partir du principe d’insérer uniquement vos mots-clés afin de maximiser vos chances. Éviter les déterminants (une, un, la, le… etc.) et surtout séparer vos mots-clés par un trait d’union.

Optimiser un article SEO

Utiliser des outils SEO pour rédiger votre article optimisé

Il existe de nombreux outils sur le marché pour vous aider à optimiser vos contenus en voici une liste non exhaustive : 1.fr, YourTextGuru, Ubersuggest, SEOQuantum, Google Keyword Planner, Semrush…

Déterminer le nombre de mots de votre article optimisé

Quelle est la longueur pour un article optimisé ? Selon les statistiques, les contenus longs auraient plus de chances de se positionner dans la SERP d’une part car ce sont des sujets qui seront plus approfondis et donc avec plus de mots-clés et d’autre part car un article long aura tendance à montrer au lecteur une volonté de l’éditeur de produire du contenu de qualité. Il faut compter entre 1 500 à 2 000 mots.

Utiliser des mots-clés bien ciblés

Les mots-clés sont des éléments incontournables dans toute stratégie de référencement qui se veut efficace. C’est sur ces mots ou expressions que se basent les algorithmes de Google afin de proposer des résultats aux internautes. Il est important d’utiliser des mots clés pertinents, c’est-à-dire, ceux qui correspondent aux termes utilisés par les internautes lors de leurs recherches. Plusieurs outils générateurs de mots-clés peuvent vous aider à trouver directement les termes dont vous avez besoin : Google Keyword Planner, UberSuggest ou encore Semrush. 

Vérifier la densité de vos mots-clés

Tout dépend de la longueur de votre article optimisé SEO. En général, il ne faut pas excéder 2 répétitions tous les 100 mots. Vous pouvez néanmoins varier le champ lexical de mots-clés comme par exemple chef d’entreprise, dirigeant, fondateur, président…Notez qu’une utilisation excessive pourrait entacher le naturel de votre article et même vous exposer à des sanctions de la part des algorithmes de référencement. La densité des mots-clés doit être raisonnable. Vous avez notamment certains outils qui vous permettent de mesurer la densité de vos mots-clés : Outiref, Smallseotools, yourtext.guru, Semji, Alyze.

Utiliser des liens internes et externes

L’utilisation de liens est une méthode simple et efficace pour améliorer le référencement d’un site internet qu’il soit interne ou provenant de l’extérieur pointant vers votre site (lien externe). A ne pas confondre avec des liens présents sur votre page qui pointent vers un autre site (liens sortants). Le maillage interne ou lien interne est essentiel en termes de SEO. Il permet notamment à l’internaute de naviguer sur votre site internet. Il permet aussi aux moteurs de recherche de pouvoir détecter vos pages et donc de distribuer vos jus SEO au travers de ces liens vers vos différentes pages. Il n’y a pas de limites de liens internes, tout dépend de votre stratégie sur le ou les pages ciblés. Attention néanmoins à ne pas abuser de vos liens internes. Concernant les liens externes, je vous invite à lire notre article plus complet sur ce sujet : Les backlinks, ces amis qui veulent du bien à votre SEO !

Le Netlinking représente l’un des leviers majeurs de votre stratégie SEO parce qu’il permet de maximiser la visibilité de votre site Internet. Le recours à des plateformes spécialisées permet d’optimiser l’efficacité d’achat de backlinks ou de liens. Mais comment fonctionnent-elles ? Quels sont les avantages et inconvénients ?

Le fonctionnement des plateformes de netlinking

Le fonctionnement des plateformes de netlinking reste sur un modèle assez simple : mettre en relation des annonceurs et des éditeurs/médias. Elles sont, pour la plupart, en accès libre (avec inscription), gratuites et sans engagement.

Elles mettent à disposition un moteur de recherche sur lequel vous définissez vos critères techniques de qualité du type Trust Flow, Citation Flow, Domain Rating, nombre de mots clés positionnés, nombre de backlinks… ainsi que des critères comme le tarif, le pays ou la thématique.

Selon les plateformes, les services peuvent varier : libre-service au catalogue, accompagnement sur-mesure, possibilité de contacter l’éditeur ou l’annonceur, validation des textes avant publication… comme c’est le cas sur Paper.club

Vous pouvez donc être mis facilement en relation avec des sites dans la thématique que vous désirez et selon vos contraintes et conditions. Vous ne payez qu’au moment de votre achat incluant les commissions des plateformes comme un site e-commerce classique.

Les plateformes de netlinking pour booster votre SEO

Les moteurs de recherche ont pour vocation d’offrir aux internautes des informations pertinentes, de qualité et issues de sources fiables. Pour ce faire, ils se basent sur de nombreux critères, donnant naissance aux 3 piliers du référencement naturel  :

  • Le contenu (articles et pages du site) ;
  • La technique (rapidité et poids du site) ;
  • La confiance.

Ce dernier point est directement lié à la notion de popularité. Plus un site web sera populaire, plus Google et ses homologues estiment que le contenu qu’il propose est qualitatif, en comparaison avec la concurrence. Le pilier confiance repose alors sur l’utilisation du netlinking. 

Il s’agit de liens entrants (dits backlinks) présents sur des sites externes qui pointent vers l’une de vos URLs. Ainsi, plus nombreux (et qualitatifs !) seront les backlinks à destination de votre site web, plus les moteurs de recherche auront tendance à valoriser votre site. 

De là tout l’intérêt d’une campagne de netlinking rondement menée !

Le recours au netlinking dans votre stratégie SEO poursuit plusieurs objectifs :

  • L’amélioration de votre visibilité ;
  • L’obtention d’un trafic de meilleure qualité ;
  • Un pôle position dans les résultats de la SERP ;
  • Une hausse du CA grâce à l’obtention d’un trafic plus qualifié.

Les campagnes de netlinking peuvent alors commencer : il s’agit de trouver des sites acceptant de publier un lien pointant vers votre site web, via l’achat ou l’échange de liens

Une tâche souvent ardue et chronophage lorsqu’elle est effectuée en direct : entre des tarifs très chers, le respect de vos besoins, un marché des backlinks ultra concurrentiel… Réaliser une campagne de netlinking réussie demande du temps… Et souvent un spécialiste de la question !

Les plateformes de netlinking sont alors des alliés précieux qui vous proposent une mise en relation avec des médias et annonceurs, auprès desquels vous pourrez acheter vos backlinks. Ces liens externes pointeront ensuite vers votre blog, page contact, catalogue ou page d’accueil, selon vos envies et vos besoins. 

Une belle manière de vous simplifier la tâche, grâce à une base de données et des options complémentaires mises à votre disposition.

Les plateformes de netlinking pour acheter des backlinks de qualité

Tous les « links » ne se valent malheureusement pas. Leur qualité repose sur plusieurs indications qui peuvent vous aider à les choisir le plus soigneusement possible  :

  • L’origine du lien : celui-ci doit provenir d’un site de qualité, populaire et apprécié par les moteurs de recherche. Le site d’origine génère-t-il du trafic ? Fait-il autorité dans son domaine ? Traite-t-il de thématiques liées à votre secteur d’activité (assurances, santé, vente au détail, affaires, automobiles…) ?
  • L’ancre et le placement du lien dans le contenu : la rédaction du texte d’ancrage de votre lien doit favoriser une cohérence sémantique avec votre thématique. Il est également essentiel que votre lien soit placé en tête de l’article ou du contenu d’origine. Si le backlink est situé dans une page mère (proche de la page d’accueil du site), c’est encore mieux !
  • La qualité du contenu rédactionnel : votre lien sera publié dans un article et sa thématique sera naturellement liée à vos activités. Ce contenu doit alors être d’excellente qualité pour gagner la sympathie et la confiance des lecteurs. Ceci, tout en respectant les normes de qualité des moteurs de recherche et en comprenant un nombre de mots total suffisant !
  • L’attribut du lien (dofollow) et la récurrence du lien (dans la limite du raisonnable) au sein du contenu rédactionnel.

Votre attention doit être portée sur tous ces éléments au moment d’opérer votre campagne. Sa réussite est en jeu ! L’utilisation d’une plateforme de netlinking de confiance permet de simplifier ce processus, avec une sélection de médias et de liens adaptés à votre stratégie marketing. 

Grâce à une plateforme de netlinking, vous reprenez la main sur les contenus qui pointent vers votre site web. Vous pouvez alors vous montrer plus exigeant sur la qualité de la rédaction. Vous pouvez aussi ne sélectionner que les meilleurs spots qui redirigeront Google et les internautes vers la destination désirée !

Autres avantages des plateformes de netlinking 

L’achat de liens sur une plateforme de netlinking compte de nombreux avantages que nous allons tenter de vous lister.

L’utilisation d’une plateforme de netlinking vous permet d’accéder à un catalogue de sites variés en France et à l’international avec un large choix de qualité de sites et de tarifs.

Vous pouvez visualiser les indicateurs SEO ainsi que les conditions des médias très rapidement. Cette méthode vous permet d’abord d’acquérir des liens de manière rapide, facile et efficace.

Vous réalisez un réel gain de temps et de productivité pour lancer vos campagnes de netlinking. Cela vous évite notamment de chercher le bon contact, négocier toutes les conditions, gérer la partie facturation avec les différents médias.

L’obtention de liens représente un travail très chronophage, qui nécessite un réseau important et un suivi régulier.

Les autres points forts d’une plateforme de netlinking, c’est de pouvoir bénéficier de tarifs compétitifs sur des médias connus et reconnus, la facilité de gestion de la facturation qui est unique, le suivi de vos campagnes, les relances automatiques des éditeurs sur vos commandes, l’accompagnement par des experts en netlinking, le support des plateformes qui aide en cas de problème.

Lancer une campagne de netlinking devient un jeu d’enfant ! Il est important de privilégier les plateformes sur lesquelles vous pouvez définir vos critères, échanger avec les éditeurs et valider vos contenus avant publication.

Les inconvénients des plateformes de netlinking

Les avantages des plateformes de netlinking sont indéniables. Il y a peu d’inconvénients comparé aux avantages qu’elles peuvent vous apporter. Pour citer quelques inconvénients, les tarifs peuvent être plus élevés en passant par une plateforme dont certaines plateformes prennent des marges très élevées.

Les indicateurs SEO ou les conditions ne sont pas à jour quotidiennement en général une fois par mois, il peut donc y avoir un léger décalage. Un choix trop large de sites, ce qui est alors un avantage devient un inconvénient. 

L’achat de backlinks reste spécifiquement interdit par les règles d’utilisation de Google. Il ne faut pas oublier que cette technique manipule l’algorithme de recherche du géant du web. C’est pourquoi le moteur de recherche peut pénaliser votre site Internet s’il détecte des pratiques condamnables en termes de SEO.

À savoir que l’achat de liens n’est pas la seule technique pour améliorer le référencement de votre site internet. Une plateforme de netlinking peuvent alors sembler constituer la solution magique, il ne faut pas oublier de soigner la structure et le contenu de votre site, ainsi que ses performances.

Comment choisir la meilleure plateforme de netlinking ?

Vous êtes convaincu de l’utilité d’une plateforme de netlinking pour booster votre référencement naturel ? Prêt à vous lancer dans une farouche lutte pour améliorer votre optimisation SEO  ?

Il ne vous reste plus qu’à sélectionner votre plateforme de netlinking partenaire. De nombreux sites proposent aujourd’hui ce service, et il peut être délicat de savoir à quel saint se vouer. Puisque la qualité des backlinks est primordiale, il faut comparer les offres des différentes plateformes de netlinking. 

Quelques critères vous permettront alors de trouver l’équipe ou l’agence qui saura au mieux répondre à votre besoin :

  • Le prix à l’unité ou à l’abonnement : variant, entre autres, selon la qualité et la popularité des URL.
  • Les options proposées : échange de liens, rédaction d’articles sponsorisés, achat de liens, mise à disposition d’un annuaire de médias, liste de mots-clés variés… Selon vos besoins !
  • L’accompagnement du service client : une qualité qui vaut mille mots. Cela peut passer par l’accompagnement personnalisé dans la prise en main de la plateforme de netlinking, par exemple. Certaines interfaces vous proposeront également un référent SAV pour bénéficier de conseils utiles en fonction de vos problématiques. Très appréciable !

Prêtez un œil attentif à tous ces détails, afin que la plateforme de netlinking sélectionnée vous offre une véritable plus value dans votre stratégie de référencement. Ceci, tout en vous faisant profiter de la meilleure expérience client possible !

Pour trouver la perle rare, n’hésitez pas à consulter un classement du top dix des plateformes de netlinking en 2024, par exemple. Vous y trouverez des noms tels que celui de Paper.Club, Linksgarden, Nextlevel, Linkuma… 

Vous pouvez également consulter les avis des clients ayant déjà acheté des liens : leur retour d’expérience est précieux !

Améliorer votre référencement Google grâce à des liens de qualité, voilà l’un des piliers d’une optimisation SEO réussie. Les plateformes de netlinking sont alors des partenaires de choix pour améliorer le positionnement de votre entreprise dans la SERP, via l’achat de liens externes.

Des outils précieux pour saisir la formidable opportunité des backlinks, et de quoi booster votre présence en ligne en un rien de temps !

Après avoir soigné le pilier confiance de votre SEO, quelle sera la prochaine amélioration web à votre planning ? Liens internes qualitatifs, rédaction de nouveaux articles premium, ou analyse de la rapidité de votre site ? 

Le netlinking SEO fait partie intégrante des stratégies de référencement naturel optées par de nombreux spécialistes en SEO. Après avoir réalisé un audit complet de votre site internet : technique, sémantique… Il est temps pour vous de préparer votre campagne de netlinking. Mais alors par quoi commencer ? Comment faire ? 

Avant de se lancer dans une campagne de netlinking SEO

Il est important de réaliser un audit de netlinking afin de déterminer le profil de liens entrants ou backlinks que vous percevez sur votre site internet. Vous avez de nombreux outils comme Ahref, Semrush, SEObserver ou Majestic. L’objectif étant de faire un état des lieux de votre site web ainsi que celui de votre concurrence.

Afin d’assurer l’efficacité d’une bonne stratégie de netlinking SEO, la vérification régulière des backlinks s’impose. Voici une liste de questions que vous pouvez vous poser :

  • Combien de liens entrants avez-vous ? 
  • Quelle est l’autorité des sites des liens entrants ? 
  • Quelle est la nature de mes liens ?
  • D’où proviennent les liens ? 
  • Quelles sont les thématiques des sites d’où proviennent mes liens ?
  • Comment ont-ils été créés ? 
  • Quelle est l’ancre utilisée ?
  • Quelles sont les pages visées de mes liens ?
  • En combien de temps ai-je obtenu mes liens ? 
  • Combien de liens avez-vous perdu ?
  • Quelle est l’évolution de mon site sur les mots clés ciblés ?
  • Quels sont vos mots clés positionnés ?
  • Quelle est ma concurrence ? 

Combien de liens entrants avez-vous ?

Déterminer le nombre de liens entrants. Est-ce que ces liens proviennent d’un seul domaine ou est-ce de plusieurs domaines différents ? Cela permet d’identifier si vos liens sont présents sur toutes les pages d’un même site en footer par exemple ou sur plusieurs sites différents.

Quelle est l’autorité des sites des liens entrants ?

Identifier si la qualité des liens que vous percevez est bonne : Trust Flow, Citation Flow, Domaine Rating ou Domain Autority que cela soit sur l’url précise de provenance ou sur le domaine principal.

Quelle est la nature de mes liens ? 

Connaître les types de liens. Il peut s’agir de liens « dofollow », « nofollow », « ugc » ou « sponsored ». Cela permet notamment de mesurer votre équilibre naturel de liens. Avoir uniquement des liens en dofollow peut paraître artificiel aux yeux de Google.

D’où proviennent mes liens ? 

Est-ce que les liens entrants sont des liens provenants de blogs, de sites d’actualité, de sites e-commerce ou de sites du gouvernement ?

Quelles sont les thématiques des sites d’où proviennent mes liens ?

Est-ce que les sites d’où proviennent mes liens sont de la même thématique que mon activité ? 

Comment ont-ils été créés ? 

Est-ce que les liens ont été créés via une campagne de communication, de relation presse, d’articles d’expertise… ? 

Quelle est l’ancre utilisée (ou lien hypertexte) ? 

La définition des ancres est assez différente selon les consultants SEO, l’essentiel est juste comprendre le principe de base.

Est-ce que les ancres obtenues sont :

  • sur-optimisées ou exacte : Agence netlinking (ne contient que des mots clés exactes)
  • optimisées : Agence de netlinking (contient des mots clés + stop word)
  • semi-optimisée : Paper Club, agence de netlinking à Paris ou acheter des backlinks grâce à notre agence (contient des mots clés + marque + stop word)
  • non optimisée ou désoptimisée ou naturelle : « Cliquez ici » ou « https//paper.club » ou « Paper Club » (ce sont des termes générique, url ou marque, elle ne contient aucun mot clé)

Attention à bien gérer l’équilibre de vos ancres !

Quelles sont les pages visées de mes liens ?

Est-ce uniquement la page d’accueil ? Des pages sur des produits ou services ? Connaître comment le jus SEO est réparti permet de mieux le distribuer par la suite et donc d’optimiser ses pages pour un meilleur maillage.

En combien de temps ai-je obtenu mes liens ? 

Est-ce un par mois ? 2 par mois ou plus ? Il est nécessaire de connaître le nombre de liens que vous avez obtenus dans le temps pour planifier votre campagne. Une campagne se réalise dans le temps et progressivement.

Combien de liens avez-vous perdu ?

Combien de liens, vous perdez tous les mois ? Et pourquoi ? Avez-vous la possibilité d’y remédier ou corriger ?

Quelle est l’évolution de mon site sur mes mots clés ciblés ?

Connaître l’évolution du positionnement de vos mots clés sur la SERP est un impératif, cela peut avoir des conséquences positives ou négatives sur votre business. Avoir un bon suivi de mots clés via des outils comme Monitank, Cocolize, Semrush est nécessaire notamment pour suivre aussi votre concurrence.

Quels sont vos mots clés positionnés ?

Connaître vos mots clés qui se positionnent sur les moteurs de recherche vous permettra peut-être de changer de stratégie de mots clés ciblés.

Quelle est ma concurrence ?

Il y a 2 aspects à bien séparer la concurrence que l’on connaît car ils ont la même activité que vous et vendent les mêmes produits et la concurrence sur les moteurs de recherches sur des mots clés ciblés. On se posera les mêmes questions que précédemment afin de comprendre ce que la concurrence a mis en place. Cela permet notamment de connaître l’effort à fournir pour arriver à mieux se positionner et ainsi comprendre les raisons pour lesquelles ils sont positionnés avant vous. Ont-ils plus de liens que vous ? Quelles sont les ancres définies ? Quelles pages ? etc.

Vous souhaitez devenir le “sensei” incontesté dans l’art de maîtriser les mots en SEO. Cet article est donc fait pour vous. Voici quelques définitions de termes techniques les plus utilisés par les consultants SEO.

Trust Flow ou TF

Le Trust Flow de la solution Majestic, nommé aussi TF, est un indicateur pour mesurer la qualité ou la confiance des liens pointant vers un site internet. Cet indicateur se base sur un score compris entre 0 à 100. Un site possédant un ou des liens de confiance aura un score plus élevé alors qu’un site ayant un ou des liens douteux aura un score plus faible.

Citation Flow ou CF

Le Citation Flow de la solution Majestic, nommé aussi CF, est un indicateur pour mesurer la popularité ou la quantité d’un lien pointant vers un site internet. Cet indicateur se base sur un score compris entre 0 à 100. Un site possédant un CF élevé est un site qui perçoit un nombre de liens importants.

Topical Trust Flow ou TTF

Le Topical Trust Flow de la solution Majestic, nommé aussi TTF, issu du Trust Flow, est un indicateur pour mesurer la pertinence ou l’influence dans sa ou ses thématiques phares. Cet indicateur se base sur un score compris entre 0 à 100. 

Domaine Référent ou DR

Le Domaine Référent, nommé aussi DR (ou Referring Domain (RD) pour les bilingues), à ne pas confondre avec Domain Rating (DR) de la solution Ahref, est le nombre de domaines unique pointant vers le site. Si vous percevez d’un même site plusieurs liens, il sera comptabilisé comme un seul domaine référent même s’ils pointent vers différentes pages de votre site.

On retrouve cet indicateur dans la plupart des solutions comme Majestic, Ahref, Semrush…

Backlink ou BL ou Lien entrant

Le Backlink, nommé aussi BL est un lien entrant pointant vers le site internet. A l’inverse du DR, c’est le nombre total de liens pointant vers le site web. Si vous percevez d’un même site plusieurs liens, il sera comptabilisé x fois le nombre de liens ou backlinks. Le nombre de backlinks est toujours plus grand ou égale au nombre de domaines référents. Logique !

Lien sortant ou lien externe

Un lien sortant, appelé lien externe, est un lien qui pointe d’un site internet vers un autre site web. Il conduit l’internaute vers une nouvelle source d’informations que le site internet d’origine.

Lien hypertexte

Le lien hypertexte est le lien vers lequel vous êtes dirigé(e) qu’il soit entrant ou sortant.

Ancre de lien

L’ancre de lien est le texte sous lequel est mis le lien hypertexte. On parle souvent de liens sur-optimisés, optimisés, semi-optimisés ou non-optimisés etc.

Maillage interne / Lien interne ou linking interne

Le maillage interne désigne l’organisation des liens internes (ou encore netlinking interne) d’un site. Ce sont donc des liens situés sur votre site qui renvoient vers d’autres pages de votre propre site. Le maillage interne a pour objectif d’optimiser vos pages et d’améliorer sa navigation.

Lien d’autorité

Le lien d’autorité est un lien sortant ou entrant d’un site internet digne de confiance comme par exemple les sites de gouvernement, les sites médias connus…

L’attribut nofollow

L’attribut nofollow (Ne pas suivre) consiste à indiquer aux robots des moteurs de recherche de ne pas prendre en compte le lien ou de ne pas transmettre de jus SEO pour le calcul de la popularité d’un site internet.

Le lien Dofollow

Le lien Dofollow (Faire suivre) est un simple lien. Il n’existe pas d’attribut pour les liens Dofollow, ils sont présents par défaut. La notion Dofollow désigne les liens que les robots des moteurs de recherches peuvent suivre et donc transmettre de la popularité ou du jus SEO qu’il soit interne ou externe.

Domaine Authority ou DA 

Le Domaine Authority de la solution Moz, nommé aussi DA, est un indicateur qui mesure la force d’un site internet sur une échelle de 0 à 100. 100 étant le score le plus élevé. Le DA utilise plus d’une dizaine de facteurs dans ses calculs.

Domaine Rating ou DR 

Le Domaine Rating de la solution Ahref, nommé aussi DR, est un indicateur qui mesure la force du profil de backlinks (liens entrants) d’un site web par rapport aux autres sites de leur base de données sur une échelle de 0 à 100. 100 étant le score le plus élevé. 

Cette liste vous semble incomplète ? N’hésitez pas à nous contacter sur support@paper.club

« Backlink », c’est le mot magique du référencement naturel. La petite clé qui ouvre la grande porte de la SERP d’un moteur de recherche. En substance, il s’agit d’un lien hypertexte qui pointe vers un site donné en lui transférant une partie de son « jus SEO », et qui indique à Google et consorts que le site en question est populaire aux yeux des internautes et des webmasters. Plus un site web (ou une page) concentre de liens externes, plus il (ou elle) fait autorité pour les moteurs de recherche. Vous voulez en savoir plus ? Comprendre comment ça fonctionne et par quels moyens on peut obtenir des backlinks ? Grâce à Paper Club, vous aurez bientôt toutes les réponses à ces questions !

C’est quoi un backlink ?

Le backlink est un lien – plus exactement, un certain type de lien hypertexte. On utilise ce terme en référencement naturel pour désigner un lien externe, publié sur un site A, qui pointe vers un site B.

Le « lien entrant » s’oppose au « lien interne » qui consiste à relier entre eux des contenus du même site web. On emploie ce dernier essentiellement à des fins d’expérience utilisateur – pour améliorer la navigation d’un internaute – et pour faciliter l’indexation des pages par les robots du moteur de recherche.

Le backlink, lui, vise deux objectifs bien différents. Il peut avoir…

  • une visée commerciale, et chercher à renvoyer un internaute vers un site particulier sur lequel il pourra en apprendre plus sur un produit/service, voire passer à l’achat ;
  • un but purement SEO, auquel cas il s’agit de transférer du « jus » d’un site vers un autre pour profiter de son autorité et améliorer le positionnement d’une page.

C’est surtout dans ce second cas de figure qu’il est utilisé. Car le backlink est un lien avant tout utilisé dans le domaine du référencement off-site – un emploi qui nous tient à cœur chez Paper Club.

Le lien entrant comme levier SEO majeur

Pour un site web, le fait d’avoir un grand nombre de backlinks représente un gros boost en matière de référencement naturel. Les experts SEO considèrent en effet le netlinking (la stratégie consistant à augmenter son nombre de liens) comme l’un des leviers les plus importants pour le positionnement des pages web, en raison du poids qui leur est accordé par les algorithmes de classement de chaque moteur de recherche.

Pourquoi c’est important ? Parce que les moteurs ont pour objectif d’apporter aux internautes des réponses pertinentes à leur recherche d’information. Prenez Google : sa raison d’être, c’est d’afficher des résultats qui correspondent aux intentions de recherche des utilisateurs, de façon à ce qu’ils soient satisfaits du service rendu. Si 1 000 contenus font l’affaire, il faut donc les classer de façon à proposer les meilleurs. Pour cela, Google opère un tri sélectif pour conserver les plus qualitatifs ET les plus populaires, ceux qui sont plébiscités par les internautes, afin de les placer dans les positions les plus élevées de sa SERP.

C’est là que le backlink joue un rôle crucial : en tant qu’indice de popularité. Il fait partie des critères permettant de mesurer combien une page est populaire (son « PageRank », dans le jargon).

Parce qu’un backlink est un lien qui renvoie d’un site A vers un site B, d’une certaine manière, c’est comme si le premier recommandait le second à ses lecteurs (et indirectement au moteur de recherche). C’est donc un gage de confiance. Plus le nombre de liens entrants est important, plus le site vers lequel ces liens renvoient est considéré comme populaire. Un peu comme le nombre de citations dont bénéficie un article scientifique témoigne de l’impact d’un chercheur sur sa communauté.

L’algorithme du moteur de recherche va s’intéresser au lien qui unit les deux sites (A et B) et transférer un peu de la popularité de l’un vers l’autre. C’est ce qu’on appelle le « jus SEO », qui se dilue à mesure qu’il est partagé. Imaginons : un contenu sur le site A jouit d’une popularité de 100 (chiffre complètement fictif). S’il intègre un lien vers un site B, celui-ci recevra 100 également. S’il publie deux liens vers deux sites différents, chacun recevra 50. S’il insère trois liens externes, chacun recevra 33, etc.

Dans les faits, c’est un peu plus complexe. Car il reste à distinguer le « bon » backlink, celui qui va accroître la popularité du site sur lequel il pointe, du « mauvais » backlink, celui qui risque de plomber tous vos efforts SEO.

Qu’est-ce qu’un « bon » backlink ?

Le nombre de backlinks, à lui seul, n’est pas un indicateur suffisant pour un moteur de recherche. Celui-ci va aussi regarder la qualité des liens externes. Mais qu’est-ce qu’un « bon » backlink, exactement ? Plusieurs paramètres entrent en ligne de compte pour déterminer la valeur d’un lien entrant :

  • L’autorité du site source. Par définition, un backlink est un lien publié sur un site A qui pointe vers un site B. Pour juger de la qualité du lien, un moteur de recherche tient compte de l’autorité du site A. Si vous publiez un contenu sur les pelles à charbon, un backlink intégré au site de Leroy Merlin aura plus de valeur qu’un autre inséré sur un obscur blog de bricolage.  Il s’agit donc de multiplier les liens en provenance de sites à forte audience et installés depuis longtemps dans le paysage digital.
  • La pertinence du lien et de l’ancre. Un lien thématique doit exister entre les deux sites reliés par un backlink, ce qui suppose de chercher à obtenir des liens externes en provenance de sites proches des sujets abordés dans les contenus vers lesquels ils pointent. C’est la même chose pour l’ancre : l’expression sur laquelle est placé le lien. Elle doit être pertinente au regard du contenu ciblé par le backlink, d’un point de vue thématique et sémantique.
  • Le transfert de « jus SEO ». La circulation du « jus » entre deux sites peut être bloquée, de la même façon qu’on ferme un robinet, avec l’attribut « nofollow » inséré dans la balise du lien. Cet attribut indique au moteur de recherche qu’il ne doit pas effectuer de transfert de popularité ; on l’utilise pour des liens non assumés, ceux qui sont placés dans les commentaires d’un article par exemple (on peut appliquer cet attribut par défaut à l’ensemble des commentaires postés sur le site). Forcément, afficher un grand nombre de backlinks en « nofollow » n’a aucun intérêt dans une démarche purement SEO.
  • La position du lien entrant dans la page source. Le contexte dans lequel un backlink est publié contribue à lui donner de la pertinence. On parle ici d’environnement sémantique : le lien doit être placé dans le corps du texte, et non dans un menu ou dans un « footer ». Parce qu’aux yeux d’un moteur de recherche, un backlink a vocation à être cliqué par le visiteur, ce qu’il ne pourra pas faire si le lien n’est pas clairement visible.

En résumé, pour présenter un bon « profil de liens », il faut privilégier :

  • De liens externes en provenance de sites populaires ;
  • Des liens publiés sur des pages dont les thématiques sont proches de celles des contenus ciblés ;
  • Des ancres pertinentes ;
  • Des liens en « dofollow », assumés par le site source ;
  • Des liens bien positionnés dans la page source.

Une bonne manière de « tester » son netlinking, surtout quand on a un grand nombre de backlinks à vérifier, consiste à mesurer son Trust Flow – un indicateur de performance créé par Majestic SEO. La valeur d’un backlink est représentée par un score compris entre 0 et 100, de sorte que le Trust Flow permet de se faire rapidement une idée de la qualité de ses liens externes.

Comment obtenir des liens externes ?

Croyez-en notre expérience : obtenir des backlinks, qui plus est des backlinks de qualité, n’est pas une mince affaire !

Parce qu’il est impossible de compter sur la seule chance et d’attendre patiemment qu’un webmaster ou un blogueur intègre un backlink vers un site donné, les experts SEO s’attachent à créer les conditions dans lesquelles ces backlinks sont amenés à voir le jour. Concrètement, ils pratiquent le « linkbuilding », la construction d’un « profil de liens » cohérent, afin de générer un grand nombre de backlinks en provenance de sites qui font autorité.

Quels leviers actionnent-ils pour y parvenir ?

Les liens dans les annuaires, forums et commentaires

C’est une bonne façon d’obtenir un nombre de liens externes important dans des délais réduits. Mais attention : la qualité de ces liens est majoritairement (très) faible. On peut en publier dans les annuaires de liens, sur les forums en participant à des discussions, ou dans les commentaires qui suivent des articles de blog.

Le problème, c’est qu’ils tombent généralement comme des cheveux sur la soupe. Ce n’est donc pas une méthode qu’on vous recommande chez Paper Club.

Le guest blogging

Cette pratique consiste à proposer des contenus à des médias spécialisés ou à des blogueurs influents. Vous écrivez le contenu et le site le publie.

Le problème, c’est que ça fonctionne uniquement si vous faites autorité sur le sujet, que le contenu apporte de la valeur ajoutée au site hôte, et qu’il lui permet de générer du trafic. Parce qu’il faut de bonnes raisons pour qu’un « gros » média publie votre contenu en acceptant de partager son « jus SEO ».

À défaut, il est toujours possible de publier l’article sans lien et de placer un backlink dans la biographie de l’auteur – c’est moins puissant, mais c’est mieux que rien.

Les articles sponsorisés

Si vous cherchez LA pratique la plus efficiente pour générer des backlinks de qualité, sur des sites influents, avec des résultats concrets en matière de référencement, les articles sponsorisés sont faits pour vous. C’est justement la spécialité de notre plateforme de netlinking !

Cette pratique est très appréciée des experts SEO parce qu’elle permet d’obtenir des backlinks « haut de gamme », qui réunissent toutes les qualités nécessaires aux yeux d’un moteur de recherche.

Un article sponsorisé est un contenu publié sur un site rigoureusement sélectionné en amont, contenant un backlink, mais dont la rédaction est prise en charge par le site en question, en contrepartie du versement d’une somme d’argent. C’est une forme de publicité native, au sens où vous « achetez » un contenu avec un lien entrant, rédigé à la demande, à partir d’un sujet et de consignes que vous soumettez en amont. Ce contenu est signalé comme « article sponsorisé » sur le site pour des questions de transparence (et pour éviter aux sites hôtes de subir une pénalité).

Les avantages de cette pratique :

  • Des backlinks garantis, pertinents et qualitatifs, en provenance de sites influents.
  • Un meilleur positionnement SEO permettant de générer plus de trafic.
  • Un boost de notoriété.
  • La rédaction du contenu prise en charge par l’éditeur ou par une agence.
  • Un article conforme à la ligne éditoriale du site choisi.
  • L’assurance de garder le contrôle complet sur votre publication : vous fournissez un cahier des charges en amont et pouvez apporter toutes les modifications de votre choix une fois le contenu rédigé.

Autre point important : un article sponsorisé apporte des bienfaits à la fois à l’annonceur (celui qui achète un contenu) et à l’éditeur (celui qui rédige et accueille le contenu) qui peut ainsi monétiser son site et capitaliser sur son volume de trafic.

Bien sûr, pour obtenir des backlinks « top qualité » et tirer parti de ces avantages, il est important de choisir les sites pertinents et de veiller à ce que le contenu publié soit haut de gamme.

Chez Paper Club, on prend ce processus en charge de A à Z, depuis la rédaction du contenu jusqu’à sa publication – avec le backlink ! Pour ce faire, on vous propose le catalogue média le plus complet du marché : plus de 10 000 éditeurs prêts à publier vos contenus rédigés sur-mesure. Avec, à la clé : une meilleure visibilité digitale (donc plus de trafic), un gain de notoriété, et une e-réputation pleinement maîtrisée.

Quelle que soit l’approche choisie pour obtenir des backlinks, gardez à l’esprit que le netlinking est un travail sur le long terme. Les moteurs de recherche ne sont pas dupes : un grand nombre de liens entrants générés de manière un peu trop rapide, des ancres trop optimisées, une quantité trop élevée de liens externes en provenance de sites peu qualitatifs ou mal positionnés sur les pages sources – et ils concluront rapidement à une tentative de manipuler leur algorithme.

En somme, en matière de backlink, il est essentiel de préférer la qualité à la quantité. Ça tombe bien : c’est aussi notre philosophie chez Paper Club !

Le marché de la publicité digitale a enregistré un taux de croissance annuel moyen de +13 % entre 2013 et 2019 en France, avec des recettes globales estimées à plus de 6 milliards d’euros pour l’année 2020 (Observatoire de l’epub, 25e édition). Parmi les différentes formes de publicités en ligne, il en est une qui sort du lot, avec une croissance de 5 % en 2020 : la publicité native. En fort développement depuis une dizaine d’années, le native advertising se caractérise par sa capacité à s’adapter à son environnement graphique, ce qui en fait l’un des formats publicitaires les plus redoutables – et les plus appréciés des annonceurs. De quoi s’agit-il exactement et comment ça fonctionne ? Paper Club vous dit tout, tout, tout au sujet de la publicité display native !

Qu’est-ce qu’une publicité native ?

La publicité native, ou native advertising, fait partie des formats publicitaires digitaux les plus en vogue auprès des annonceurs. Cette publicité display (comprendre : en ligne) a la particularité de se mêler aux contenus éditoriaux du support sur lequel elle s’affiche, de telle sorte qu’il devient difficile de la discerner des autres contenus (organiques, propres au site web en question, etc.). On parle alors de publicité intégrée : elle s’oppose aux autres formes de publicités toutes identiques et reconnaissables comme telles.

Autrement dit, la publicité native reprend les codes de la page où elle apparaît (en matière de forme, de design, d’emplacement, de typographie, de ratio des images…), jouant ainsi les caméléons. Elle se « fond » dans le décor, sans pour autant se délester de ses composantes essentielles qui en font une publicité en ligne ayant pour objectif d’inciter au clic : présence visible de la marque, utilisation d’images et de vidéos, bouton Call-to-Action, lien à cliquer, etc.

Ainsi, au lieu d’avoir une bannière rouge pétant tout en haut d’une page web, le native advertising permet d’afficher une annonce ou un article sponsorisé au sein même du flux de l’utilisateur. Pour faire une analogie, cela ressemble un peu à du placement de produit au cinéma, lorsque le personnage principal regarde l’heure sur sa montre Omega ou fait des recherches sur son ordinateur Apple : tout cela paraît naturel, mais s’avère en réalité bien étudié en amont pour faire de la publicité sans en avoir l’air.

Le but du jeu ? Garantir la continuité de navigation de l’internaute en lui proposant une annonce dont le fond et la forme la rendent indissociable (ou presque) des contenus qu’il consulte. Et croyez-nous : à l’heure où les internautes rejettent en masse les formats publicitaires classiques (41 % des moins de 30 ans utilisaient un AdBlock en 2018, selon IAB France), la bonne intégration d’une annonce dans une page est un enjeu tout ce qu’il y a de plus stratégique.

On considère parfois que la publicité native est une forme de brand content. Chez Paper Club, nous pensons que ce sont deux approches très différentes, les publicités natives n’ayant pas vocation à être centrées sur la marque. Pour autant, une campagne de brand content peut tout à fait utiliser des publicités natives.

Comment s’affiche une publicité native ?

Le native advertising n’est pas une révolution en soi : il s’agit simplement d’une continuation sur le web de formats publicitaires intégrés qui ont toujours existé dans les magazines papier et les journaux, à l’image du publi-rédactionnel et du publi-reportage. La différence vient du support (digital) qui offre de nombreuses possibilités en matière d’affichage. De fait, on retrouve généralement la publicité native…

  • Au sein du flux de l’utilisateur (in-feed éditorial, in-feed externe, in-feed social – en fonction du type de support), typiquement au milieu d’une page d’accueil d’un site web ou entre deux posts sur les réseaux sociaux ;
  • Dans une page de résultats de recherche, par exemple les liens commerciaux sur Google qui s’affichent au-dessus des liens organiques, et qui se différencient uniquement de ceux-ci par la mention « annonce » placée devant l’URL ;
  • Sous forme de listes de produits en e-commerce (promoted listings) ;
  • Sous la forme d’un contenu sur-mesure (custom content) rédigé par l’annonceur ou par un intermédiaire comme Paper Club, et qui a pour avantage de correspondre très exactement à la ligne éditoriale du site qui le publie (le contenu est alors signalé en tant qu’ « article sponsorisé ») ;
  • Au sein d’un autre contenu, comme un article (in-article), un email (in-mail) ou une vidéo (in-video) ;
  • Sous forme de modules (widgets) pour recommander d’autres contenus d’un même site ou de tiers partenaires.

Quelle place occupe le native advertising ?

Ce format publicitaire natif pèse aujourd’hui pour 22 % de la publicité display globale et contribue à sa croissance à hauteur de 38 % (IAB).

Comment expliquer un tel succès ? D’abord, par les changements de comportement. Les internautes utilisent massivement des AdBlocks pour échapper aux formats publicitaires classiques, de plus en plus envahissants et intrusifs, qui perturbent la navigation. Et même lorsque des bannières sont affichées, ne pouvant pas être bloquées, leur présence est largement ignorée – c’est le phénomène du « banner blindness », la capacité des internautes à « ne pas voir » une publicité.

Ensuite, par l’évolution des supports. La consommation de contenu digital est devenue majoritairement mobile, ce format représentant plus de 66 % du marché de la publicité en ligne. Or un écran mobile offre moins d’espace aux formats publicitaires standards, ceux-ci étant encore plus intrusifs que sur desktop. Ce basculement a donc nécessité un changement de stratégie.

En somme, la place occupée aujourd’hui par la publicité native découle d’une évolution inexorable du modèle publicitaire : nous sommes passés d’un modèle intrusif (« push ») à un modèle respectueux de l’utilisateur (« pull »).

Pourquoi la publicité native est-elle si efficace ?

L’efficacité de la publicité native repose sur deux piliers majeurs :

La capacité de ce format publicitaire à s’adapter aux nouveaux comportements des utilisateurs. Comme évoqué plus haut, le native advertising est particulièrement efficace contre ce réflexe, développé par les internautes, qui leur permet d’ignorer bannières et bandeaux publicitaires. Le « banner blindness » est le fruit de l’habitude : parce qu’on sait qu’une publicité va s’afficher sur un emplacement clé de la page (dans le header, dans la partie latérale…), on n’y prête plus aucune attention. Seule la publicité native, par exemple une annonce in-feed ou un article sponsorisé, peut aller contre cette habitude : elle est moins facilement identifiée et, lorsqu’elle l’est, moins souvent rejetée par les internautes. Ce format est également moins bien filtré par les outils de blocage publicitaire.

Son aptitude à répondre aux objectifs stratégiques des annonceurs quand il s’agit de s’adresser à leurs audiences. Cela, en termes de notoriété, de considération ou de performance.

  • Notoriété. Le native advertising permet de mieux capter l’attention des internautes : en moyenne, une publicité native in-feed (intégrée aux flux des principaux réseaux sociaux, par exemple) est vue deux fois plus qu’une bannière haute, et l’internaute y passe 3,6 fois plus de temps. Or c’est en captant l’attention des cibles qu’un annonceur augmente ses chances que son lien soit cliqué ou que son article sponsorisé soit lu.

IMAGE : Temps d’attention des internautes

(Source : IAB)

  • Considération. Les formats natifs sont aussi plus efficaces pour engager l’audience. Ils affichent des taux d’interaction supérieurs de 20 à 60 % à ceux des formats publicitaires digitaux classiques, et enregistrent +15 % d’intention d’achat après un clic. D’ailleurs, 53 % des internautes préfèrent consulter des publicités natives. (Chiffres IAB.) Sans parler du fait que le native advertising délivre une audience de qualité.
  • Performance. Une audience mieux ciblée et plus engagée est susceptible de se convertir plus aisément, ce qui permet aux annonceurs, à travers la publicité native, d’atteindre également leurs objectifs de performance. Ces publicités peuvent pousser l’internaute à remplir un formulaire en ligne, à s’abonner à une newsletter, à télécharger un contenu ou une application, à réaliser un achat, etc. Avec, à la clé, une amélioration notable du ROI.

Autant de raisons qui expliquent l’efficacité de la publicité native et son adoption par un nombre grandissant d’annonceurs.

À quoi ressemble une publicité native ?

Vous avez encore des difficultés à concevoir, concrètement, de quelle façon une publicité native peut s’intégrer à un support de façon à être indissociable de ses contenus propres ? Chez Paper Club, nous sommes les spécialistes de l’article sponsorisé : un type de contenu sur-mesure qui adopte la charte graphique du site destiné à le recevoir, de sorte que la plupart des internautes ne peuvent pas voir la différence avec un article maison. C’est donc tout naturellement que nous avons choisi un tel article pour illustrer notre propos.

Voici un exemple de publicité native sous forme d’article sponsorisé, publié sur le site du journal La Tribune. Remarquez comment le contenu s’intègre parfaitement au support, dans la forme (typographie du titre et du texte, illustration avec une image qui respecte le ratio du site, affichage du nombre de mots…) comme dans le fond (un sujet qui rejoint la ligne éditoriale du média). Seule la mention « article partenaire » (sous le titre) indique qu’il s’agit d’une publicité native.

Un autre exemple de publicité native, cette fois in-feed : toujours sur latribune.fr, l’internaute se voit proposer des contenus à lire avec des liens renvoyant vers d’autres pages du même site, mais aussi des liens pointant vers des sites tiers dont l’esthétique reprend très exactement celle des recommandations in-site (comparez les propositions de la première et de la troisième ligne, quasiment identiques sur la forme). Seule l’indication « AD » (pour « advertising »), associée au domaine de destination, nous font comprendre qu’il s’agit de formats publicitaires natifs.

Parce qu’elle s’intègre au support qui la publie et joue sur l’indiscernabilité des contenus, la publicité native se doit d’être hautement qualitative et pertinente : il en va de la réputation du site ou de la page qui l’accueille. C’est pourquoi il est recommandé de confier la création de votre publicité native à des professionnels, comme Paper Club pour vos articles sponsorisés !

Le marketing d’influence, qui consiste à s’appuyer sur des personnalités et des sites web influents pour présenter un produit ou service ou faire passer un message, est de plus en plus employé par les entreprises. Parmi les stratégies de communication, c’est sans doute celle qui a connu la plus forte croissance ces dernières années, son chiffre d’affaires mondial étant passé de 1,7 milliard de dollars en 2016 à 6,5 milliards en 2019 (Statista). Et pour cause : elle offre des possibilités infinies tout en générant des bénéfices variés, qui s’accordent aux différents objectifs des annonceurs (visibilité, notoriété, SEO, ventes…). De quoi s’agit-il exactement ? Quels avantages une marque peut-elle en tirer ? Comment mettre en place une stratégie de marketing d’influence ? Paper Club fait le point sur ce marketing digital nouvelle génération !

Qu’est-ce que le marketing d’influence ?

Le marketing d’influence désigne une stratégie de marketing qui vise, pour une entreprise ou une marque, à faire la promotion d’un produit ou d’un service en s’appuyant sur la popularité de personnalités influentes du web – ce qu’on appelle communément des « influenceurs » – mais aussi sur des blogs et des sites fortement médiatisés. Cela, dans le but de profiter de leur pouvoir de prescription, c’est-à-dire de leur capacité à influencer le comportement ou les décisions de la communauté qui les suit ou qui les consulte.

Les influenceurs peuvent être des personnalités suivies sur les réseaux sociaux ou via leur blog, des leaders d’opinion (journalistes, éditorialistes, capitaines d’industrie…), ou encore des célébrités (de la chanson, du cinéma, du sport, de la téléréalité…). Ils évoluent dans une thématique spécifique et sont suivis par une communauté plus ou moins importante, avec un nombre d’abonnés pouvant atteindre plusieurs millions pour les plus célèbres d’entre eux. Ce sont les nouveaux prescripteurs des marques, devenus indispensables aux stratégies de communication sur le web, et en particulier sur les médias sociaux.

Les médias influents font partie de la catégorie des leaders d’opinion, et jouent également un rôle majeur dans ce type de stratégie marketing. Un rôle qui découle des relations presse, considérées comme une forme ancienne de marketing d’influence : le journaliste est techniquement un influenceur, dans le sens où il peut « influer » sur le comportement d’un lecteur, d’un téléspectateur ou d’un auditeur. De sorte que le fait de publier un contenu sur un blog ou sur un site populaire peut largement contribuer, pour une marque, à sa visibilité (sur les moteurs de recherche par exemple), à sa notoriété et à ses ventes.

Ce faisant, une campagne de marketing d’influence pourra s’appuyer sur des relais aussi divers que des youtubeurs (PewDiePie, Like Nastya, Vlad et Niki), des personnalités du monde du spectacle (Jennifer Aniston, Kylie Jenner, Shane Dawson), des sportifs (Cristiano Ronaldo, LeBron James, Serena Williams), des leaders d’opinion (Warren Buffet, Elon Musk, Janet Yellen), des blogueurs (Chiara Ferragni, Julia Engel), des médias (Associated Press, Reuters, Bloomberg), etc. Bien sûr, ce sont là des exemples parmi les plus célèbres, mais le marketing d’influence ne se limite clairement pas à eux.

Comment fonctionnent les campagnes d’influence ?

Une stratégie de marketing d’influence passe par des partenariats passés avec les influenceurs et/ou avec les médias influents qui correspondent à vos objectifs. Ce qui veut dire qu’il faut, avant de faire appel à telle personnalité ou de contacter tel webmaster, identifier non seulement les bonnes entités, mais aussi déterminer quels leviers sont les plus pertinents.

Ces leviers, propres aux campagnes d’influence, peuvent être directs ou indirects, en fonction de la manière dont ils mettent la marque et/ou son produit ou service en avant. S’il est vrai que le marketing d’influence est surtout connu pour sa dimension « directe » (un influenceur parle d’un produit à travers un article, une vidéo ou des images), il existe également tout un pan du marketing qui fonctionne de façon « indirecte » en agissant comme une sorte de « soft power » médiatique.

Les leviers du marketing d’influence

Quels sont ces leviers de marketing d’influence ?

  • Le Buzzkit et l’Unboxing. Un influenceur, qui a reçu le produit ou profité du service en avant-première, l’évalue pour sa communauté. Dans le cadre de l’Unboxing, de plus en plus populaire, il va jusqu’à déballer le produit face caméra, de manière à faire vivre à son audience une expérience complète, fortement marquée par l’émotion.
  • Le placement de produit. Un influenceur mentionne le produit ou le service dans son contenu, de façon plus ou moins subtile. C’est une technique ancienne (le placement de produits phares dans les films) mise au goût du jour pour le web. Elle est surtout mise en place dans le cadre de campagnes d’influence sur les médias sociaux basés sur la vidéo, comme YouTube ou Twitch.
  • Le partage de code promotionnel. C’est une variante du placement de produit : un influenceur évoque un produit ou un service et en profite pour partager auprès de sa communauté une offre promotionnelle communiquée en amont par la marque. C’est ce qu’a fait l’influenceuse chinoise Becky Li pour vendre des Mini Cooper en masse sur WeChat en permettant à ses abonnés de précommander une édition limitée de ce véhicule (à lire ici).
  • Le partenariat touristique. Une autre technique très en vogue, tant les influenceurs « voyage » fédèrent des communautés importantes et actives. Il s’agit d’offrir à un influenceur un service (séjour en hôtel, billet d’avion, excursion, repas au restaurant…) en contrepartie d’une mention sur les réseaux sociaux.
  • Le Takeover. Cette technique de marketing d’influence consiste à confier les rênes du compte social d’une marque à un influenceur pendant un laps de temps limité, afin que celui-ci attire l’attention de sa communauté sur un produit ou un service, sur le site web de l’annonceur, sur un événement, etc.
  • L’événement. Un influenceur est invité à assister ou à participer à un événement organisé par la marque. Il peut ainsi en faire la promotion en amont, relayer l’événement le jour J sur ses médias sociaux, puis en publier un compte rendu par la suite.
  • Le guest blogging. Cette méthode de marketing d’influence indirect consiste à publier un contenu sur un blog, un site web ou un compte social influent, en tant qu’invité – ou, inversement, à accepter qu’un tiers publie sur les supports de la marque.
  • La publication d’un article sponsorisé. Ce levier, proche du guest blogging, en revient à publier sur un site (influent) tiers, mais en confiant la rédaction du contenu à un expert (travaillant pour le site lui-même ou exerçant pour le compte d’une plateforme d’influence). Ce type de marketing d’influence vise surtout la notoriété et la publication de backlinks dans un but de netlinking. Au passage, c’est ce que nous proposons chez Paper Club !

Les contreparties

Ces différents leviers, utilisés pour les campagnes d’influence, partagent un point commun : ils supposent une contrepartie.

Celle-ci prend souvent la forme d’une rémunération, mais ce n’est pas toujours le cas : une marque peut « récompenser » un influenceur ou un média influent en offrant des cadeaux, en sponsorisant une activité (invitation à un événement, press junket tous frais payés…), en améliorant son image de marque (publication d’un lien entrant, mention sur ses supports…), etc.

Mais attention, il ne s’agit pas pour autant de publicité ! Le marketing d’influence n’est pas une forme de réclame déguisée. L’influence exercée par la personnalité ou par le média peut d’ailleurs être très subtile, et prendre, par exemple, la forme d’une simple mention (un blogueur voyage qui cite l’hôtel dans lequel il est descendu ou la marque qui lui a offert l’appareil photo qu’il utilise).

Dans certains cas, cette stratégie de marketing se rapproche du journalisme traditionnel : des « testeurs » évaluent la qualité d’un produit ou d’un service, mais sans forcément en dissimuler les défauts. Une des sources d’influence les plus intéressantes aujourd’hui a trait aux parties de jeux vidéo en direct sur Twitch, pendant lesquelles les joueurs n’évoquent pas les qualités ou les défauts des jeux mais se contentent de proposer une expérience à leur communauté. Ici, le simple « coup de projecteur » sur le produit, le service ou la marque suffit amplement à en faire un levier de marketing d’influence.

Quels bénéfices peut vous apporter le marketing d’influence ?

Pourquoi mettre en place des campagnes d’influence ? faire appel à des influenceurs ou publier des contenus sur des médias influents ? baser sa stratégie social media sur les stars de YouTube ou d’Instagram ?

Le poids de la recommandation

Pour comprendre l’intérêt du marketing d’influence pour un annonceur, il faut déterminer en quoi consiste exactement cette « influence ». Cette stratégie de marketing est basée sur le pouvoir de prescription des personnalités et des médias influent·e·s, donc sur leur capacité à influencer (dans une certaine mesure) les comportements de consommation.

Ce pouvoir de prescription fonctionne sur la recommandation, elle-même proche du bouche-à-oreille : on est prêt à écouter (et à suivre l’avis) d’une personne parce qu’on a confiance en ses goûts. Les influenceurs étant proches de leur communauté, ils jouent ainsi le rôle de prescripteurs. Pour vous, en tant qu’annonceur, c’est l’occasion de toucher des consommateurs plus réceptifs aux arguments marketing, parce qu’ils déjà sont en confiance.

De plus, étant connectés à tel influenceur ou tel média, ces consommateurs sont forcément sensibles aux produits ou services que vous êtes amené à leur proposer. Un internaute qui suit le vlog de Léna Situations sur YouTube s’intéresse à la mode et au lifestyle ; il est donc prêt à recevoir des recommandations dans ces domaines spécifiques. De la même façon, un lecteur assidu de La Tribune sera sensible aux contenus sponsorisés parlant d’économie ou de finance qui sont publiés sur la version en ligne de ce journal.

Pourquoi est-ce si efficace ? Parce que les influenceurs sont synonymes d’authenticité, et les médias influents d’expertise. Ce sont deux des critères mis en avant par les internautes lorsqu’ils évoquent leur choix de suivre une personnalité, un compte social ou un média : l’authenticité est jugée très importante pour 58 % d’entre eux et plutôt importante pour 30 %. Viennent ensuite l’humour (53 % et 35 %), l’expertise (48 % et 37 %), l’intelligence (44 % et 39 %) et la proximité des intérêts et des goûts (42 % et 41 %). C’est ce qui fait que 72 % des membres de la génération Z et des Millennials suivent des influenceurs et écoutent leurs recommandations. (Chiffres extraits du rapport publié par Morning Consult.)

Or le poids de la recommandation est supérieur à toute autre forme de publicité. 83 % des consommateurs font plus confiance aux recommandations d’amis ou de proches qu’aux publicités (Nielsen). 92 % des internautes font plus confiance aux contenus publiés par les personnalités que par les marques (HubSpot). 56 % des internautes ont déjà acheté un produit recommandé par un influenceur (Morning Consult). Les clients venus de la recommandation sont aussi plus qualitatifs : leur panier moyen annuel est supérieur de 25 % à celui des autres consommateurs, ils sont 25 % plus rentables, et 4 à 5 fois plus susceptibles d’apporter de nouveaux clients (Extole).

Il est intéressant de noter que le principe même du marketing d’influence, quand il est connu des internautes, n’influe pas négativement sur le point de vue de ces derniers. Alors que 95 % des influenceurs informent leur audience d’un partenariat avec une marque par souci de transparence, 77 % des internautes disent avoir une vision positive de cette forme de discours (HubSpot).

Des bénéfices variés et adaptés à tous les objectifs

Cette recommandation, qui fait le sel du marketing d’influence, apporte aux marques de nombreux bénéfices. Concrètement, les influenceurs et les médias influents vous font bénéficier de leur audience (celle-ci dépendant de la taille de la communauté), qui représente potentiellement des millions de vues. À partir de là, votre entreprise ou votre marque peut…

  • Développer son audience sans dépenser des sommes importantes (les campagnes d’influence sont assez bon marché comparées à d’autres stratégies de communication) ;
  • Toucher une cible spécifique en passant par des influenceurs et des médias choisis avec soin ;
  • Accroître sa notoriété et toucher des audiences nouvelles ;
  • Travailler sa réputation ;
  • Améliorer son référencement et gagner des positions sur les moteurs de recherche (notamment grâce au « jus SEO » obtenu par le biais des backlinks publiés sur des sites à forte autorité, l’une de nos spécialités chez Paper Club) ;
  • Générer des ventes ;
  • Affiner sa stratégie marketing grâce aux résultats obtenus sur le long terme.

Ces avantages sont bien connus des marketeurs : ils sont 94 % à considérer le marketing d’influence comme efficace. Cette stratégie de marketing permet de générer un ROI onze fois supérieur à d’autres méthodes. 58 % des marques ayant mené des campagnes d’influence constatent une hausse de leur notoriété, et 54 % une augmentation de leur volume de prospects et de leurs revenus (HubSpot).

Comment mettre en place une stratégie de marketing d’influence qui fonctionne ?

Voyons maintenant comment mettre en place une stratégie de marketing d’influence qui donnera des résultats. Paper Club vous donne les clés pour réussir vos campagnes d’influence !

1. Définir ses objectifs et son budget

La première étape consiste à définir précisément les objectifs que vous souhaitez atteindre à travers votre marketing d’influence (notoriété, trafic, visibilité SEO, ventes…) .

Non seulement il s’agit de savoir où vous allez (pour mesurer votre ROI), mais ce préalable joue un rôle déterminant dans le choix de l’influenceur ou des médias influents. Par exemple, si votre but est de gagner en visibilité SEO, le meilleur levier consiste à obtenir des liens entrants via des articles sponsorisés. Si vous voulez vendre, il faut commencer par définir des audiences cibles (susceptibles d’acheter vos produits ou services) afin d’identifier les influenceurs ou les sites les plus pertinents. Si c’est la notoriété que vous recherchez, il faudra viser en priorité des influenceurs avec de fortes communautés.

Quant au budget, c’est une composante essentielle de vos campagnes d’influence. Les influenceurs appliquent des tarifs différents en fonction de la taille de la communauté qui les suit : cela peut aller d’une centaine d’euros pour des nano-influenceurs à plusieurs milliers d’euros pour des macro-influenceurs dans le domaine du voyage ou pour des célébrités (plus d’informations dans ce rapport publié par Klear). Tout dépend du type d’influenceurs comme on le verra plus bas.

Pour les blogs et sites influents, c’est plus simple : il suffit de passer par une plateforme comme Paper Club pour obtenir un tarif précis par contenu.

2. Identifier les bons influenceurs et médias influents

C’est une dimension majeure du marketing d’influence : il faut prendre le temps de choisir les bonnes personnalités et les bons supports, afin de garantir un « taux de compatibilité » élevé (en fonction de votre domaine d’activité, de votre budget, de votre audience cible et de vos objectifs).

Les influenceurs sont classés par secteur (thématique) et par typologie, c’est-à-dire en fonction de la taille de la communauté qui les suit. On distingue plusieurs types d’influenceurs :

  • Les méga-influenceurs comptent plus de 500 000 abonnés : célébrités, sportifs, artistes, leaders d’opinion… Leurs tarifs sont élevés et la portée des publications importante. Ces partenariats sont excellents pour l’image de marque.
  • Les macro-influenceurs comptent de 100 000 à 500 000 abonnés. Ils se distinguent par leur forte visibilité et la grande diversité de leur communauté, mais aussi par un engagement moindre.
  • Les micro-influenceurs comptent de 10 000 à 100 000 abonnés. Leur audience est très segmentée et le taux d’engagement élevé.
  • Les nano-influenceurs comptent moins de 10 000 abonnés. Ce sont des prescripteurs de niche, avec des tarifs bas (et souvent des contreparties non financières) mais offrant des taux d’engagement élevés.

Attention : la taille de la communauté ne fait pas tout. Plus important est le taux d’engagement de l’audience : sa capacité à interagir et à agir. Débourser des sommes énormes pour du marketing d’influence avec une célébrité du cinéma comptant 10 millions de followers n’aura aucun sens si le taux d’engagement de son audience ne dépasse pas 0,01 % et que vous ne parvenez pas à atteindre vos objectifs !

Les médias influents sont segmentés en fonction de leur volume de trafic et de leur taux d’engagement. Mais, en fonction des objectifs, on pourra regarder d’autres paramètres, comme l’autorité pour les backlinks, ou la fiabilité pour la crédibilité des publications. NewsGuard classe régulièrement les sites d’actualité selon leur fiabilité et leur taux d’engagement ; pour ce qui est du trafic, on peut se référer aux classements mensuels de l’ACPM (Alliance pour les chiffres de la presse et des médias).

Mais il ne faut pas se fier qu’au volume de trafic. Sur des marchés de niche, on s’intéressera plus volontiers à l’engagement de la communauté. Pour de la visibilité SEO, on évaluera plutôt l’autorité du site web. Le mieux étant de faire confiance à une agence de marketing d’influence comme Paper Club : nous disposons d’une base de données comprenant plus de 10 000 éditeurs dans tous les domaines, avec toutes les statistiques incontournables.

3. Prendre contact et élaborer le partenariat

Entrer en contact avec un influenceur suppose de nouer une relation de confiance, celle-ci devant se développer sur le long terme. Il faut suivre ses comptes sociaux, interagir avec ses publications, apprendre à le connaître pour affiner ses arguments… En d’autres termes : adopter une approche subtile. Cela, parce que les influenceurs (surtout à partir du niveau des macro-influenceurs) sont très sollicités : 14 % d’entre eux reçoivent plus de dix demandes de partenariat par mois (HubSpot).

Un partenariat en marketing d’influence doit prévoir des contreparties, celles-ci n’étant pas forcément sonnantes et trébuchantes. Les nano- et les micro-influenceurs peuvent être récompensés par un espace de visibilité sur votre site web ou vos réseaux sociaux, par un produit ou service offert en cadeau (notamment celui qui fait l’objet du partenariat), par une invitation à un événement exclusif, etc.

C’est plus simple pour les médias influents : certes, les articles sponsorisés sont payants et doivent respecter la ligne éditoriale du support, mais la contrepartie englobe la totalité du service (rédaction et publication du contenu), est ponctuelle (pas de partenariat contractuel à long terme) et ne suppose pas d’en passer par une phase d’approche chronophage. De plus, le résultat – notamment l’impact d’un backlink sur le SEO – se mesure aisément et avec précision.

(Attention : ces partenariats sont encadrés par l’ARPP (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité). Par exemple, les articles sponsorisés doivent être mentionnés comme tels sur le support, les influenceurs doivent mentionner leurs partenariats, etc. Les manquements sont passibles de sanctions.)

4. Suivre les performances

Enfin, il est indispensable de suivre les performances de vos campagnes d’influence afin d’en identifier les points faibles et les éventuels leviers d’optimisation. Les indicateurs de performance varient en fonction des objectifs :

  • Pour de la visibilité : nombre d’abonnés, taux d’engagement, volume de visiteurs sur le site de l’annonceur ou en boutique…
  • Pour de la vente : nombre de ventes réalisées, chiffre d’affaires généré…
  • Pour du positionnement SEO : nombre de backlinks obtenus, Trust Flow des liens, positions gagnées sur les SERP…

Paper Club vous aide à mettre en place votre stratégie de marketing d’influence : choisissez (sur notre base de données) les sites et blogs influents sur lesquels publier vos contenus et laissez-nous faire le reste !